Bonnes pratiques

Bonnes pratiques

Pour continuer à pratiquer des activités en montagne tout en limitant notre impact, il y a différentes possibilités. Cela passe par le transport, le matériel, notre quotidien, mais également des outils et des comportements à adopter lors de nos sorties.
Nous en avons regroupé quelques-uns ici, à vous de piocher dedans !

Biodiv’sport

Cet outil créé en partenariat avec la LPO permet d’identifier les zones sensibles concernant certaines espèces tout en renseignant l’utilisateur sur les risques, les périodes concernées ou autres. Intégré à une carte (comme c’est le cas avec camp to camp par exemple), il permet d’anticiper les risques de dérangement et limiter notre impact sur la faune.

Vous pouvez consulter directement le site de Biodiv’sport ou de ses partenaires pour accéder à ces informations, mais aussi intégrer ce filtre à vos fonds de carte si vous êtes une plateforme ou un club de sport de montagne par exemple.

Le bivouac en Isère

La fédération française de randonnée en Isère vous a concocté un livret complet sur le bivouac en Isère. Ce guide pratique regroupe les différentes informations des parcs et zones naturelles des massifs de Ecrins, Belledonne, Vercors et Chartreuse. Les bons gestes et équipement, les interdictions et devoirs... tout y est pour bivouaquer de façon responsable.

Guide du bivouac en Isère

Faune et biodiversité

La montagne est habitée par de nombreuses espèces, et pour se côtoyer en bonne entente, le mieux est de les connaître et de comprendre leur fonctionnement. Pour cela il existe une multitude de ressources.

Vous pouvez par exemple vous renseigner sur la faune en hiver et les adaptations mises en place pour leur survie. Mais même si elle est particulièrement sensible en hiver, la faune sauvage est présente toute l’année !

Il y a aussi des campagnes et des informations ciblées pour différents types d’activités disponibles. Cela permet ainsi d’identifier les risques de dérangement et d’impacts principaux en lien avec notre pratique sportive.

C’est en connaissant mieux ces espèces et le vivant ainsi que l’impact que l’on peut avoir sur elles que l’on peut agir en adaptant au mieux notre manière de pratiquer la montagne.