Comédien, mais aussi metteur en scène et auteur, il anime au Créarc des ateliers où il envisage le théâtre comme un moyen d’ouverture sur le monde et de construction de soi » et imagine « des pièces à partir d’impros où chacun-e peut interpréter un rôle dans lequel il ou elle se reconnaît
. Depuis quatre ans, il écrit et orchestre la grande parade de clôture des Rencontres du Jeune Théâtre Européen.
Un retour à ses premières amours puisque c’est grâce à ce festival qu’il a commencé à se former avec des metteurs et des metteuses en scène de tous horizons
, mais aussi un sacré challenge qui consiste à créer en dix jours un spectacle avec plus de 120 participant-es en tenant compte de l’identité de chaque compagnie : masques, vidéo, arts du feu…
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À l’automne, on pourra aussi redécouvrir sa mise en scène sensible et épurée de 1943, la Saint-Barthélémy grenobloise : une pièce créée pour les 80 ans de la Libération de Grenoble sur un texte de Fernand Garnier, son papa, dont il prend la succession à la direction du Créarc en mai.