Tess Kinski pose avec des exemplaires de ses BD.
© Auriane Poillet

Tess Kinski, les couleurs de l’engagement

Née dans l’agglomération grenobloise en 1989, la créatrice de Super Cyprine a d’abord travaillé dans le marketing et la communication.

Culture

Par Alice Colmart, publié le 26 déc. 2024

Article

Après douze années, happée par l’appel de l’art, Tess Kinski s’essaie à différents domaines créatifs avant de découvrir l’illustration de bande dessinée. Une révélation qui la pousse à suivre une formation.

En 2021, elle publie le premier tome de Super Cyprine, en autoédition. Ce personnage est né à la suite d’un énième harcèlement de rue, raconte-t-elle. Il s’agit d’une héroïne queer justicière qui détient un pouvoir particulier. Puis, en 2022, son deuxième tome - cette fois-ci édité par la maison Massot - voit le jour.

Aujourd’hui, Tess travaille sur des projets très variés, mais toujours en cohérence avec ses valeurs. Récemment, j’ai proposé à l’association Les Amis du Muséum une initiative écologique qui consiste à peindre des arbres du parc Paul-Mistral à l’aquarelle. Ce qui m’a ensuite donné l’envie de créer un document qui permettrait aux enfants des écoles de l’agglomération de reconnaître les arbres de ce fabuleux parc. Et cela, grâce aux couleurs.

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