Ici, il n'y a pas de règle, sauf celle de ne pas se moquer et ne traduire qu'en dernier recours
, raconte Coralie Guillemin, coordinatrice ASL. Ce mardi 4 avril, une quinzaine de personnes étaient présentes, dont trois bénévoles, issu-es des ateliers ou venant de l'extérieur. On apprend mieux quand on enseigne
, sourit Zorik, l'un d'eux.
On y retrouve de nombreuses origines : mongoles, arméniennes, algériennes, iraniennes ou encore marocaines. À leur arrivée, dès 9 heures, chacun-e se présente. Pouvoir dire son nom, son âge et sa nationalité, selon différentes manières, cela fait partie de l'apprentissage.
Ensuite, tout est prétexte à faire évoluer son niveau de français : parler de café, de cuisine, de traditions de son pays d'origine, etc. Chaque semaine, on prend différents objets pour étudier, explique Mehdi, un apprenant. Et il y a souvent des invité-es, d'associations ou de la Maison des Habitant-es.
Toutes les personnes de la MdH apportent d'ailleurs quelque chose. Ce jour-là, la référente famille est venue parler d'une possibilité de séjour de vacances à Massacan.
Informations complémentaires
Maison des Habitant-es Prémol
7, rue Henri-Duhamel 38100 Grenoble
Durée
Tous les mardis de 9h à 11h